Et ce en date du 1er juin 2011 à la préfecture de police de Paris, par Benjamin Bayart. Gitoyen désigne donc deux entités, l'une (le GIE) légitime et l'autre (l'association) pour cela pose fortement question, puisque la volonté de participation de FDN à cette nouvelle structure est loin d'être acquise (ce qui est explicite dans le compte-rendu du bureau du 2 juillet :
L'association Gitoyen a six fondateurs qui sont tous des personnes physiques : Valentin Lacambre, Benjamin Bayart, Arnaud Luquin, Benoît Portrat, Jonathan Dupart et Philippe Le Brouster. Ils sont tous membres du bureau en attendant la tenue de la première assemblée générale.
Un règlement intérieur est en cours de rédaction. Il aborde et tente de traiter quelques-uns des points critiqués dans mon article. Je profite d'une version daté du 26 octobre dans l'etherpad de LQDN pour l'intégrer dans le CVS de FDN et l'éplucher un peu.
Toutefois je regrette déjà que les sujets qu'il abordent soient relégués dans ce document secondaire (malgré l'équivalence d'importance qu'il semble vouloir se donner avec les statuts, le règlement intérieur est modifiable bien trop facilement) et donc que ses réponses aient une pérennité très discutable.
Sylvain (lulu) Vallerot, le 10 nov 2011
La précipitation de la perspective de la dissolution du GIE m'amène à proposer dans l'urgence une porte de sortie sous la forme de statuts alternatifs pour Gitoyen.